Des cliniques d’évaluation désignées dans les hôpitaux de la région

Avec maintenant 129 cas de Covid-19, l’Outaouais se trouve en bonne posture comparativement à d’autres régions semblables comme l’Estrie, où 570 cas sont présentement recensés. Le CISSS de l’Outaouais précisait en point de presse, cet après-midi, les nouvelles orientations au niveau du dépistage et du suivi des patients atteints ou qui pensent être atteint du virus. Ainsi, la clinique d’évaluation désignée (CDE) de Gatineau permet à la population présentant des symptômes de consulter un médecin et de faire un test de dépistage si nécessaire. Ces consultations ne se font que sur rendez-vous, pris au préalable en téléphonant à la ligne 1-877-644-4545.

Partout en Outaouais, mais plus à St-André-Avellin

En plus de Gatineau, plusieurs CDE ont été annoncés en périphérie, afin d’éviter les déplacements. C’est donc les urgences de Wakefield, Maniwaki, Shawville et l’hôpital de Papineau (Buckingham) qui ont été désignées pour recevoir les patients présentant des symptômes liés à la Covid-19, grippaux ou de gastroentérite dans les régions. Lors de l’appel, s’il y a lieu d’obtenir un rendez-vous dans une CDE, l’infirmière en attribuera un le plus près possible de la résidence du patient.

Contrairement à ce qui se faisait la semaine dernière, le CLSC de St-André-Avellin ne fera plus de tests de dépistage, nous confirmait Ann Rondeau, directrice des programmes de la déficience et de la réadaptation au CISSS de l’Outaouais.

Ann Rondeau, Directrice des programmes en déficience et de la réadaptation
CISSS de l’Outaouais
Priorisation des patients

Les patients seront priorisés pour le dépistage de la manière suivante:

  1. Patients hospitalisés et ceux qui se présentent à l’urgence qui ont un diagnostic clinique ou radiologique compatible avec la Covid-19 
  2. Professionnels de la santé symptomatiques qui sont en contact avec les patients 
  3. Résidents des CHSLD ou de résidences privées pour aînés symptomatiques ou exposés à une situation d’éclosion 
  4. Personnes symptomatiques vivant en région éloignée, dans une communauté isolée ou issue des Premières Nations/Inuits, qui ont un accès limité à un hôpital 
  5. Premiers répondants ou travailleurs du système de sécurité publique symptomatiques ou autres travailleurs des services essentiels 
  6. Certaines personnes symptomatiques de la communauté, sur recommandation directe du directeur de santé publique. 

Les personnes inquiètes ou présentant des symptômes liés à la Covid-19, peuvent en tout temps contacter le 1-877-644-4545, numéro sans frais dédié au virus au Québec. Advenant le cas ou une consultation s’avérerait nécessaire, madame Rondeau nous confirme que les rendez-vous se font dans une période de 24 heures ou moins.

Moisson Outaouais amassera les dons virtuellement

Dans un communiqué transmis aujourd’hui, Moisson Outaouais, annonçait la reformulation de leur grande campagne de dons annuelle. À l’habitude, on récoltait les dons à l’aide de bénévoles (126 étaient prévus cette année). Cependant, avec les restrictions dans les épiceries et différents points de rencontre publics, il devenait complexe de faire une campagne de dons de manière traditionnelle. C’est donc à compter d’aujourd’hui et ce jusqu’au 30 avril prochain que vous pourrez donner à Moisson Outaouais directement sur son site Web au www.moissonoutaouais.com/collecte. Quelques points de collecte ont été aussi installés, de manière virtuelle encore une fois, aux caisses des partenaires marchands.

Demande accrue

Avec les nombreux nouveaux chômeurs dû à la pandémie, Moisson Outaouais a vu son nombre de bénéficiaires augmenter en flèche. C’est plus de 4000 nouvelles personnes chaque mois qui demandent de l’aide de l’organisme, pour un total actuel de 16 000.

Au mois de mars seulement, Moisson Outaouais a donné plus de 74 500 kg de denrées, comparativement à 43 700 kg à pareille date l’an dernier.

«Nous devons faire les provisions nécessaires pour répondre aux besoins croissants, nous prévoyons une hausse de 200 % en milieu rural et 75 % en milieu urbain. »

Armand Kayolo, directeur général, Moisson Outaouais

L’organisme rappelle que chaque dollar donné à Moisson Outaouais permet de retourner une valeur de 5$ dans la communauté.

Le Panier Bleu: quelques entreprises inscrites en Outaouais

Le gouvernement Legault a annoncé dimanche dernier un nouveau site Internet faisant la promotion des produits et commerces québécois: Le Panier Bleu. Après seulement une journée, plus de 1000 commerces y sont déjà inscrits à travers la province. En Outaouais, on compte 28 commerces locaux dans cette liste, au moment de l’écriture de ces lignes. Un peu plus de 50% des commerces locaux offrent un site transactionnel individuel vers lequel le site redirige ses visiteurs.

Loin du « Amazon québécois »

Après une visite du site en question, nous pouvons constater que dans ses premiers balbutiements, le Panier Bleu n’est autre qu’un répertoire, tel qu’annoncé par le ministre de l’Économie et de l’Innovation, Pierre Fitzgibbon.

Les commerçants qui souhaitaient voir l’aube d’un site Internet du type « Amazon » version québécoise seront déçus, car aucune transaction n’y est effectuée. Par contre, il est possible d’inscrire son entreprise même si elle ne dispose que d’une adresse physique. Des pictogrammes à côté du nom de l’entreprise indiquent si celle-ci possède un site Internet transactionnel, une adresse physique ou autre information pertinente.

Une plateforme en évolution

La plateforme évoluera avec le temps, comme on l’indique en page d’accueil. D’autres fonctions restent à venir comme la création d’un espace « commerçant » enrichi, afin de mieux faire connaître les entreprises et la possibilité de créer un profil pour personnaliser son expérience utilisateur.

Le Québec en pause pour 3 semaines de plus

Le bruit courait depuis quelques temps et les directions annoncées récemment par le premier ministre du Québec, François Legault, allaient également en ce sens. Nous avons eu droit à une confirmation lors de son point de presse quotidien: le Québec sera en pause pour une durée de 3 semaines supplémentaires à ce qui avait été annoncé au départ.

4 mai, une date réaliste

La date du 13 avril a donc été modifiée pour celle du 4 mai pour les commerces et entreprises non-essentiels. Selon lui, cette date en est une réaliste. Le premier ministre a du même souffle affirmé que cette date pouvait être revue afin d’ouvrir plus tôt, mais qu’il fallait être certain d’être dans une pente descendante avant d’ouvrir. Également, avec l’accord de la direction de la Santé publique, la réouverture se fera de façon progressive.

Remerciements du jour aux entrepreneurs

Dans ses remerciements du jour, François Legault, a tenu à saluer les entrepreneurs et les efforts qu’ils font en temps de crise, afin de préserver leurs acquis. Celui-ci a confirmer que le ministre de l’Économie et de l’Innovation, Pierre Fitzgibbon, travaille « pratiquement jour et nuit » afin de sauver les entreprises. Selon le ministre, plusieurs scénarios sont à l’étude pour la réouverture. La relance pourrait se faire de façon géographique ou sectorielle.

Panier Bleu

Également, celui-ci planche sur un nouveau projet: le Panier Bleu. Cette plateforme servira à faire la promotion des produits québécois et de l’achat local de manière électronique. Cette plateforme permettra aux commerçants de promouvoir leurs produits gratuitement.

Le Panier Bleu est constitué en OBNL et appuyé d’un conseil d’administration présidé par Alain Dumas, ancien président du conseil d’administration du Conseil québécois du commerce de détail. Celui-ci possède une expertise de plus de 30 ans en marketing et a travaillé notamment pour la chaîne L’Aubainerie et les marchés d’alimentation Sobeys. Également sur le C.A. du Panier Bleu se trouve l’ancien président de Lowes Canada (propriétaire de Rona) et l’entrepreneur Alexandre Taillefer. M. Fitzgibbon a tenu à rappeler que le C.A. ne sera pas rémunéré. Le budget initial de cette initiative sera de 250 000$.

Le Panier Bleu, pas un « Amazon » québécois

Le Panier Bleu, selon le ministre québécois de l’Économie, ne se veut pas un site transactionnel, mais plutôt un répertoire de ce qui est disponible au Québec. La transaction se fera sur les différents sites des entreprises. Les entreprises devront donc se doter de solutions électroniques afin de vendre en ligne. Plus de détails seront à venir dans les prochaines semaines.

Les québécois respectent le confinement

Selon une étude de Google, le Québec serait le premier état ou province en Amérique du Nord en terme de respect des consignes de confinement, ce qu’a annoncé le premier ministre. Google a d’ailleurs annoncé cette semaine avoir mis à la disposition des autorités sanitaires des différents pays leurs données de géolocalisation. Bien qu’aucune donnée personnelle ne soit transmis, le géant Internet américain tient à ce qu’on puisse tracer des tendances de déplacement, ce qui a mené à ce dévoilement de données. Google fera cet exercice chaque semaine pour 131 pays.

Transfert de services sur la rue Georges confirmé

Nous vous affirmions, il y a quelques jours, (voir article) qu’une nouvelle clinique était en préparation sur la rue Georges, dans le secteur Buckingham. Jusqu’à aujourd’hui, le CISSS de l’Outaouais n’avait rien mentionné publiquement sur ce possible point de service.

Or, dans un communiqué émis en fin d’après-midi, nous avons eu droit à quelques précisions. Dans le but de protéger l’ensemble des usagers n’étant pas affectés par le coronavirus, les services généraux de santé du CLSC Vallée-de-la-Lièvre qui étaient donnés à l’hôpital de Papineau, seront transférés au 110 rue Georges, d’ici le 7 avril.

Pour prendre rendez-vous, la population doit composer le au 819-966-6605 poste 339900. Cela permettra aux usagers de ne pas se présenter en milieu hospitalier et donc, d’éviter de potentiels cas de Covid-19.

Pas de blagues avec le virus

Le Service de police de la Ville de Gatineau (SPVG) tient à rappeler que de mentir sur son état de santé en ce temps de crise peut apporter de graves conséquences. Les policiers sont des intervenants de première ligne et leur santé est primordiale pour le SPVG. Une jeune femme de 21 ans l’a appris à ses dépends, alors qu’elle se trouve accusé d’entrave à un agent de la paix.

Fausse malade

Lors d’une intervention, une femme de 21 ans aurait faussement prétendu être atteinte de la COVID-19, alors qu’elle était questionnée par des enquêteurs, lors d’une prise de déclaration. Un individu présent dans la résidence a été emmené au poste de police pour être questionné dans cette histoire.

Plus tard dans la journée, le SPVG aurait été informé que la jeune femme aurait mentionné être infectée au coronavirus et qu’elle avait été testée positive quelques jours auparavant. S’est alors déclenché un protocole important de désinfection urgent qui a mené au nettoyage de plusieurs endroits et quelques véhicules. Des policiers et employés ont alors été mis en quarantaine immédiatement pour protéger leur santé et celle des personnes auprès de qui ils interviennent.

L’enquête subséquente a démontré que la femme avait menti sur son état de santé et qu’elle n’avait jamais été déclarée positive à la COVID-19, pas plus qu’elle n’aurait passé de test de dépistage.

Des accusation d’entrave à un agent de la paix ont été soumises au Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP). Un mandat d’arrestation visé a été émis contre la femme de 21 ans. Elle est libérée sous conditions en attente des procédures.

Accusations possibles

Plusieurs accusations possibles en lien avec la COVID-19 peuvent être déposées contre un citoyen qui mentirait à un agent de la paix sur son état de santé ou qui donnerait volontairement le virus.

Si quelqu’un transmet volontairement le COVID-19 à quelqu’un d’autre, il pourrait être accusé de voies de fait causant des lésions corporelles et même de négligence criminelle.

Si la personne à qui un malade transmet volontairement la maladie est un agent de la paix, des accusations criminelles de voies de fait causant des lésions corporelles et même de négligence criminelle peuvent être déposées.

Une personne qui ne respecterait pas le confinement obligatoire au retour d’un voyage à l’étranger ou d’un diagnostic positif au virus, pourrait se voir accusé criminellement de nuisance publique ou se voir imposé une amende allant de 1000$ à 6000$. Une disposition de la loi sur la santé publique permet aux policiers de soumettre au DPCP un rapport d’infraction général. Celui-ci déterminera alors le montant de l’infraction.

Pas de prime pour les éducatrices en service de garde d’urgence

Lors d’un direct sur Facebook, le ministre de la Famille, Mathieu Lacombe a confirmé que le gouvernement n’avait pas, dans son plan de crise, l’intention d’ajouter une prime salariale pour les éducatrices en service de garde. Le gouvernement a déjà offert une hausse salariale aux travailleurs de la santé.

Alors que beaucoup de CPE sont fermés actuellement, le ministre a confirmé que tous les éducateurs et éducatrices du réseau devaient recevoir leurs salaires, même chez eux, donc une prime n’était pas de mise pour l’instant.

Milieux contaminés

Alors qu’on apprenait qu’une première éducatrice en service de garde d’urgence avait été testée positive à la COVID-19, Mathieu Lacombe a tenu à détailler la procédure. Une éducatrice qui est testée positive se voit retirée immédiatement, la garderie est fermée et les enfants doivent se placer en isolement pour 14 jours. Il a répété que la santé est la priorité du gouvernement.

Un guide d’une trentaine de pages a été envoyé aux dirigeants du réseau, afin de clarifier les normes de sécurité et d’hygiène pour la crise.

Mathieu Lacombe, député de Papineau, Ministre de la Famille
Photo: Assemblée Nationale du Québec
Qui a droit?

Les services de garde d’urgence offrent des espaces pour les enfants des professionnels de la santé et les travailleurs des services essentiels. Plusieurs éducatrices ont soulevé le point que plusieurs couples n’étaient pas tous dans les services essentiels et donc que l’autre parent pouvait garder leurs enfants à la maison. Ce à quoi Mathieu Lacombe a répondu qu’il tient à ce que les éducatrices ne deviennent pas des agents de police et que les circonstances individuelles seraient trop difficiles à gérer.

Jours fériés

Une question qui est revenue souvent est celle sur les prochains jours fériés. La grande fin de semaine de Pâques arrive à grands pas et les éducatrices se demandaient si les services de garde d’urgence devaient demeurer ouverts. Le ministre de la Famille a tenu à spécifier que les services doivent demeurer ouverts si la demande est présente. Du même souffle, il a demandé d’attendre avant de demander si les parents ont besoin du service ces jours précis, car la situation change d’heure en heure.

Points de contrôle routiers en Outaouais

En ce temps de restrictions gouvernementales, les différents corps policiers de la région se sont vu dans l’obligation de mettre en place des points de contrôles routiers, question de limiter les déplacements interrégionaux. Ceux-ci ont été annoncés et seront en fonction de manière aléatoire et pourront se déplacer au besoin.

Question de vous donner un aperçu, nous avons combiné les différentes informations dans une carte interactive qui vous permettra d’avoir une vue d’ensemble des différents points de contrôle dans la région.

Veuillez noter que les points de contrôle donnés pour la MRC des Collines-de-l’Outaouais ont été placés de manière aléatoire selon les informations diffusées. Ceux-ci vont se déplacer, donc ne prenez pas en compte l’emplacement exact du point donné sur la carte, mais plutôt du secteur de couverture.

Pas tous le 6 avril

Avec le nombre grandissant de nouveaux chômeurs demandant la Prestation Canadienne d’Urgence (PCU), le gouvernement fédéral s’attend à une surchauffe de ses systèmes si tous les prestataires éligibles font leurs demandes dès l’ouverture, le 6 avril. Afin d’éviter de dépasser la capacité de traitement de leurs serveurs, le gouvernement du Canada mettra en place une division, par mois de naissance, des personnes pouvant déposer leurs demandes.

Ainsi, suivant les indications du tableau suivant, vous pourrez compléter votre demande de PCU.

Selon votre mois de naissance, vous devez compléter votre demande les journées suivantes.
* Source: Gouvernement du Canada
Critères d’admissibilité

Pour avoir droit à la prestation de 2000$ par mois imposable, vous devez faire partie des travailleurs suivants*:

  • de 15 ans ou plus qui résident au Canada; 
  • qui ont arrêté de travailler en raison de la COVID-19 ou qui sont admissibles aux prestations régulières ou de maladie de l’assurance-emploi;
  • qui ont gagné un revenu d’au moins 5 000 $ en 2019 ou dans les 12 mois précédant la date de leur demande; 
  • qui sont, ou qui prévoient être, sans revenu d’emploi ou de travail indépendant pendant au moins 14 jours consécutifs au cours de la période initiale de quatre semaines. Pour les périodes de prestations suivantes, ils s’attendent à ne pas avoir de revenu d’emploi. 
Cas particuliers

Le gouvernement du Canada a mis en ligne une section de questions et réponses pour donner des détails généraux et pour certains cas particuliers. Par exemple, une mère qui revient d’un congé parental peut-elle avoir droit à la PCU. Vous pouvez consulter cette section au canada.ca/pcu-coronavirus.

Délai et liquidités

Concernant le délai de réponse et l’entrée des montants d’argent, le gouvernement du Canada stipule sur son site que le traitement se fera dans les 10 jours suivant la soumission de la demande et aucun délai de carence ne sera appliqué. Les prestations seront rétroactives à la date d’admissibilité de chaque travailleur. Les paiements se feront par chèque ou par dépôt direct. Ce dernier sera par contre le plus rapide.

De son côté, le premier ministre du Québec, François Legault, avait indiqué vouloir aider les québécois qui manquaient de liquidités jusqu’à l’arrivée de la PCU fédérale. Toutefois aucun programme n’a encore été annoncé en ce sens. Cet après-midi, le président du conseil du Trésor, Christian Dubé, mentionnait, en période de question, que des informations serait données plus tard concernant ce dossier.

*Source: gouvernement du Canada

Des données régionales enfin disponibles en Outaouais

Souvent questionné sur le sujet en conférence de presse par les différents médias régionaux, le CISSS de l’Outaouais a maintenant mis à la disposition de tous les statistiques dédiées au coronavirus dans la région. Sous forme d’une page Internet, on y retrouve deux tableaux concernant l’état de la situation dans les différentes MRC de l’Outaouais. Cette page sera, selon le CISSS, mise à jour tous les jours avant 15h.

On y apprend que la MRC de la Vallée-de-la-Gatineau n’a encore aucun cas répertorié. La région compte 75 cas confirmés au moment d’écrire ces lignes, dont 66 étaient dans la zone de Gatineau. À l’extérieur des centres urbains, c’est la MRC de Papineau qui est la plus touchée avec 6 cas.

Peu d’achalandage aux soins intensifs

Par ailleurs, un autre tableau disponible sur le site Web du CISSS de l’Outaouais nous montre le nombre d’hospitalisation. Selon le CISSS, aucune hospitalisation, ni à l’urgence, ni aux soins intensifs sont reliées au Covid-19 jusqu’à maintenant. Il n’y a pas non plus de centre pour personnes âgées touché, ni de décès attribuable au virus. Seul 5 employés de l’hôpital de Hull sont contaminés pour l’instant.

Vous pouvez consulter le site au cisss-outaouais.gouv.qc.ca/covid-19.