Nouveau propriétaire du Bar Windsor de Buckingham

Le Bar Windsor de Buckingham a réouvert, le 14 juin dernier avec un nouveau propriétaire. Luc St-Jacques nous présente son nouveau concept et les différentes modifications qu’il a apportées ainsi que son équipe. 

Avec ces murs d’honneur, il rend hommage aux gens d’ici tels que le champion canadien Gaétan Hart, surnommé Champ. On peut également retrouver une réplique des vestiaires des tigres, l’équipe de football local et plusieurs autres…

Il vous réserve plusieurs surprises tels que des spectacles, des tirages et un nouveau décor à l’effigie de la région. 

Lancement de la bière en collaboration avec le Château Montebello

Le 16 juin dernier a eu lieu le lancement de la bière en collaboration avec le Château Montebello. Alain Larivière président et brasseur chez les Brasseurs de Montebello nous présente la conceptualisation de cette bière.

Lors de l’événement virtuel qui est accessible sur Youtube, on rencontre deux personnes clés de cette collaboration qui nous offre plus de détails sur leurs choix. 

Lors de l’événement virtuel Christian Quesnel, présente d’où lui est venue son inspiration pour l’illustration de la nouvelle bière  et Justin Mara parle du processus de la collaboration avec le Château de Montebello.

Événement virtuel des Brasseurs de Montebello

Il s’agit d’un travail de longue haleine, différents angles ont été explorés afin d’en arriver à ce résultat. 

La bière est maintenant disponible au Château de Montebello et dans différents points de vente à travers le Québec. 

MJT Larose ajoute du résidentiel à son pôle commercial

L’entreprise familiale MJT Larose, qui est spécialisée dans le développement et la location d’immeubles commerciaux, travaille depuis plusieurs années sur l’expansion du pôle commercial Place du marché, dans le secteur Masson-Angers, à l’angle de la rue Georges et du chemin Filion.

Dès le printemps 2022, une phase résidentielle s’ajoute au quadrilatère avec l’ajout de tours à condos qui devraient être érigées à proximité du site. Sébastien  Larose, directeur des opérations et développement, nous donne des détails sur le projet.

La jonction du résidentiel et du commercial permettra d’ avoir accès à des services directement sur place en plus de créer une ambiance dynamique. La construction de ce deuxième immeuble viendra boucler la première phase commerciale du projet Place du marché qui s’était amorcée en 2012 avec l’arrivée du marché d’alimentation IGA dans le secteur.

Une SQDC à Buckingham

Une succursale de la Société québécoise du cannabis (SQDC) compte s’implanter à Buckingham. L’ouverture est prévue d’ici la fin de l’été 2021, elle sera située au 162, avenue Lépine. Martin Lajeunesse, conseiller municipal du district de Buckingham nous parle de l’ouverture de cette deuxième succursale en Outaouais et de ces retombées économiques.

Quant aux craintes des citoyens en lien avec l’ouverture de cet succursale, il affirme que la municipalité sera présente et à l’écoute de ces citoyens. Cette nouvelle succursale aura également un impact dans la région. Une quinzaine de personnes y seront engagées.

Les services offerts seront semblables à ce que l’on retrouve généralement chez l’entreprise. Depuis la légalisation de la marijuana en 2018, la SQDC a ouvert plus d’une quarantaine de succursales et selon le site internet de la SQDC ce nombre devrait atteindre près d’une centaine en mars 2023. 

Pelletée de terre groupe

Début des travaux et demande de dons pour Le Monarque

Le début des travaux de la nouvelle résidence Le Monarque à Plaisance aura lieu le 15 novembre 2020. Cette maison de soins palliatifs est déjà venue en aide à plus de 800 familles. Le Monarque accueille et accompagne les personnes en fin de vie et leurs proches.

À la suite de la conférence de presse du 28 octobre 2020, Manon Cardinal, directrice générale de l’organisme, confirme que la préparation du terrain débutera afin d’entamer les travaux d’excavation en avril prochain. Les travaux sont estimés à 8 mois, la concrétisation et l’accueil des premiers occupants devraient être en janvier 2021.

L’objectif d’amasser 3,5 millions n’est pas totalement atteint. Il est important de noter que la maison Le Monarque oeuvre seulement avec des dons. Annuellement, les frais s’élèvent à un demi-millions de dollars. La campagne de financement continue et les dons sont toujours possibles. Tous les dons petits et grands font une différence.

Un spectacle bénéfice hommage à Claude Léveillée sera également présenté en virtuel le 27 novembre à 20h. 

Pour plus d’informations sur l’événement:

https://lepointdevente.com/billets/leveillee?fbclid=IwAR0jzboQXWwzdNqoejSDr6ecvnD_l8_Rkdur0DCgCicVioYVcQCcvwXqMJY

Ouverture du marché aux puces de l’Encan

L’Encan Larose a annoncé plus tôt aujourd’hui sa réouverture samedi le 30 mai. Vous pourrez donc retrouver tous vos marchands, mais à l’extérieur seulement. Pour l’instant, les places intérieures demeurent fermés. La direction recommande très fortement le port du masque pour assurer la sécurité de tous. Le Bar de l’Encan sera également ouvert, mais pour les commandes à emporter uniquement.

Crédit Photo: Encan Larose (2018), Facebook

Réouverture des centres commerciaux le 1er juin

Plus tôt aujourd’hui, lors de son point de presse quotidien, le premier ministre du Québec, François Legault, a annoncé la réouverture des centres commerciaux pour le 1er juin à l’extérieur de la région de la Communauté métropolitaine de Montréal. Cette date coïncide avec celle des soins personnels et thérapeutiques, comme les salons de coiffure.

Pas pour tout de suite à Montréal

Alors qu’on ouvre à peine les commerces de Montréal ayant pignon sur rue ou une porte à l’extérieur des centres commerciaux, les régions, beaucoup moins touchées par la Covid-19, pourront donner un peu de souffle à leurs économies respectives.

Une conférence de presse du ministre de l’Économie et de l’Innovation, Pierre Fitzgibbon est attendue sous peu afin d’expliquer les modalités de la réouverture.

Votre vignoble pour moins de 800 000$

Le Domaine Mont-Vézeau, premier vignoble dans la Petite-Nation, est à vendre. Pour les propriétaires, Jean-Pierre Foucault et Linda Boulianne, c’est une démarche qu’ils ont entrepris depuis deux ans, de façon discrète, afin trouver une relève. Après 17 ans d’opérations, le Domaine s’est acquis une réputation enviable, remportant plusieurs prix au passage. C’est donc question de prendre une retraite de ce « projet de retraite » que les propriétaires ont décidé de vendre l’entreprise. Par contre, ils sont prêts à demeurer quelques temps afin d’assurer une transition en douceur.

À vendre depuis 2 ans

Après avoir constaté qu’il n’y avait aucune relève et désirant prendre une retraite, la décision de vendre était inévitable. C’est cependant afin de ne pas nuire aux opérations et créer une certaine incertitude chez la clientèle que les propriétaires se sont fait discrets, laissant leur courtier faire les démarches. Après 2 ans d’attente, ceux-ci ont plutôt opté pour divulguer au grand jour leur intention. Jointe au téléphone, Linda Boulianne n’était pas peu fière du chemin parcouru. Ayant démarré avec seulement 1500 vignes, il y a 17 ans, c’est maintenant avec plus de 8000 qu’ils produisent leurs vins de traditionnels. En plus, l’addition d’une plantation de fraises et de framboise est venue ouvrir un marché pour des vins qui ont gagné en popularité.

Occasion d’affaires

Selon madame Boulianne, il n’est pas nécessaire pour le prochain acheteur de connaître l’agriculture de fond en comble pour acheter le vignoble. Un entrepreneur connaissant la mise en marché et le marketing pourrait très bien se débrouiller avec l’équipe de spécialistes déjà en place.

La marque de commerce et le réseau de distribution étant déjà bien établis, c’est donc une entreprise vivante et bien implantée à laquelle aura droit le ou les prochains acheteurs. Distribués dans les SAQ, Métro et autres marchés spécialisés de la région, il sera donc plus facile de reprendre les rennes pour l’acheteur plutôt que de démarrer un projet du point 0, selon la propriétaire.

En plus de la fermette, une maison rénovée, une maison pour ouvriers et toutes les installations pour la fabrication du vin sont également inclus. Le prix de vente de 789 000$ avant taxes comprend également la marque de commerce, le site Internet ainsi que plusieurs équipements.

Été 2020

Linda Boulianne ne pouvait pas nous répondre à savoir s’il y allait avoir de l’auto cueillette de fraises et de framboises cet été. Elle dit attendre les consignes du MAPAQ, afin de pouvoir laisser entrer les gens.

Cependant, vu son réseau de distribution, elle nous confiait ne pas ressentir les impacts de la crise actuelle. Ses distributeurs étant des services essentiels, ses produits peuvent toujours se vendre.

Réinventer pour mieux servir

Après 51 jours de fermeture, Carole Lajeunesse, copropriétaire du mythique Lala Bistro de Buckingham, a décidé de « repartir la machine », comme elle le citait dans une publication Facebook, ce matin. La réouverture des salles à manger des restaurants n’étant pas dans les plans immédiats du gouvernement, celle-ci a donc fait le choix de s’inviter chez ses clients. Elle lance donc un sondage, sur la page Facebook du bistro à savoir quels sont les plats qu’elle devrait insérer dans son menu pour emporter. Évidemment, une sélection plus limitée de plats seront disponibles et ce, à partir du 1er juin.

Après 26 ans à rouler à fond de train, madame Lajeunesse a pris un pas de recul afin d’analyser les besoins de sa clientèle et la logistique qu’il fallait mettre en place pour être efficace. En entrevue téléphonique, l’entrepreneure colorée de Buckingham, nous dévoilait qu’elle « avait lavé sa cuisine au Q-Tips » en préparation pour la réouverture sous une autre forme. Cette période a été loin d’être des vacances, selon ses dires. Également, il a fallu voir comment assurer une certaine distanciation dans la cuisine, qui n’est pas une mince affaire pour tous les restaurants.

Celle qui conçoit ses décors à la main a dû remodelé une partie de son restaurant pour accueillir ses clients dans la même ambiance, mais avec un espace limité. Vous pourrez donc la retrouver à une porte de type kiosque pour ramasser vos plats, tout en appréciant les créations de « l’artiste dans l’âme », comme elle aime se décrire.

Des demandes de partout

Le restaurant est populaire auprès de la clientèle locale, mais aussi de l’extérieur. Elle nous racontait qu’en préparation, le téléphone sonnait constamment. Les gens ont hâte à la réouverture pour apprécier sa nourriture et l’expérience unique du restaurant. Les appels proviennent non seulement de l’Outaouais, mais aussi de Montréal, notamment. Les nombreux touristes qui passent dans la région veulent y revenir et faire découvrir à leurs familles et amis ce lieu incontournable du centre-ville de Buckingham.

Capsules Web

Question de faire la promotion de son restaurant, elle a également mis un certain accent sur les réseaux sociaux. Celle qui n’est pas une adepte de la caméra, commence à prendre goût à cette forme de publicité. Par ailleurs, ses efforts portent fruit, car des gens qui n’étaient jamais allés dans son restaurant lui ont dit qu’ils allaient découvrir l’endroit, une fois la réouverture effectuée. Pour Carole Lajeunesse, ce genre de commentaire vaut la peine d’investir et de combattre sa gêne.

Continuer contre vents et marrées

Avec son frère Martin, celle-ci mène la barque depuis plusieurs années, même si certaines ont été difficiles. Aller chercher chaque client dans ses débuts n’a pas été une mince tâche. Elle nous racontait que dans les 7 premières années, les finances étaient serrées et qu’il fallait gérer d’une manière efficace pour éviter les pertes. Martin Lajeunesse, selon Carole, c’est l’esprit analytique, les chiffres. Elle se qualifie « d’âme du restaurant », car on peut y voir sa touche personnelle partout, autant dans la nourriture que dans le décor. Il n’est pas donné à tous de travailler avec sa famille, mais ceux-ci, par leurs caractères distinctifs se complètent bien, selon elle. Ils traitent d’une façon bien différente les situations stressantes. De son côté, elle s’exprime beaucoup et son frère est plus réservé et introspectif.

Cette femme très impliquée dans sa communauté, nous confiait avoir hâte à la reprise et est confiante que la clientèle soit au rendez-vous, car la demande est présente depuis le début. Elle nous disait également qu’elle était heureuse d’avoir pu réaliser la levée de fonds pour la Maison d’hébergement pour Elles des 2 vallées, juste à temps, avant de devoir fermer. C’est donc dans 24 jours qu’on pourra savourer à nouveau un menu révisé du Lala Bistro.

*Photo: Google Maps

Aide aux PME: 3,1 M$ pour ID Gatineau

Investissement et Développement (ID) Gatineau sera le gestionnaire du programme « Aide d’urgence aux PME », nous apprenait son directeur général, Jean Lepage. C’est un montant de 3,1 M$ qui sera donc distribué aux PME de Gatineau. Concrètement, sous certaines conditions, les petites et moyennes entreprises de la ville pourront obtenir une somme ne dépassant pas 50 000$, afin de leur donner des liquidités dans leurs fonds de roulement pour se relever de la crise.

Un webinaire gratuit pour les entrepreneurs aura lieu ce jeudi à 15h30. Me Michèle Lafontaine, notaire chez PME INTER Notaires répondra aux questions de ceux-ci. Entre autres, on y parlera d’annulation de baux commerciaux, de la réintégration des employés et d’hypothèques.

Les entrepreneurs de Gatineau ayant des questions ou besoin d’aide peuvent toujours composer le 819-921-1477.